Victoire ou défaite........(Bianca Laguarda)

Invité

James Conlon se p résenta au FBI afin d'être mis au courant d'un dossier que la couronne lui avait assigné.

Il devait rencontré une femme dont il n'avait pas retenu le nom, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Ne pas retenir le nom d'une femme, il en perdait.

A la réception, il dit à l'agent de service:

Bonjour, je suis le procureur James Conlon, je viens rencontrer une certaine Amanda, Barbara, je m'excuse, j'ai oublié le nom. Vous pouvez m'aider ?

Un regard sans expression, l'agent prit le téléphone, composa un numéro et informa la personne qui lui répondit que quelqu'un l'attendait.

Elle arrive! dit-il simplement.

James lui sourit et alla s'assoir pour attendre son rendez-vous.

Ça commence bien si un procureur ne connait pas le nom de la personne qu’il va rencontrer. Il risque fort bien de retenir le nom de la dame avec avoir vu Bianca Lagarda en chair et en os devant lui.

Elle parcoura le couloir où ses talons fond un bruit... il serait difficile de passer incognito en ce moment même, mais bon, ce n’est pas le but non plus. Bianca attache un bouton de son veston et voit un homme assis. Enfait, il est le seul homme assis sur les chaises, alors sans c’est aucun doute lui le rendez-vous.

Elle se présente devant lui et lui tend la main.

Bianca Lagarda de la sécurité du territoire!

Invité

Assis dans le couloir à tenter de retrouver le nom de l'agente qu'il devait rencontrer, James ne portait aucune attention aux bruits qui l'entouraient. Il n'entendit pas les talons s'avancés vers elle jusqu'à ce qu'il voit une main tendue.

Il leva les yeux pour être ravi de ce qu'il voyait. Ce n'est pas parce qu'il occupe un poste de direction qu'il était insensible aux charmes féminins, bien au contraire.

James se dépêcha de poser son dossier et de lui tendre la main en se promettant de ne plus jamais oublié son nom.

Sourire charmeur,

Enchanté Madame Laguarda! On peut se parler de notre dossier devant un café ?

Bianca regarde l’homme qui s’empresse à déposer son dossier pour lui serrer la main. Il est rapide en affaires cet homme, il propose de boire un café pour parler du dossier. Peut-être qu’il a l’intention de coller ici quelques heures. Au moins il n’a pas proposé de verre, sinon elle se serait posé différentes questions.

Oui, suivez-moi!
Elle prend les devants pour l’amener dans son propre bureau. Après tout c’est à ça que ça sert un bureau, non? Puis de toute manière, tous les bureaux polyvalents sont déjà occupés.
J’espère que ça ne vous dérange pas que nous fassions ça dans mon bureau.

Invité

Faire çà dans votre bureau ? répond-il en riant, comprenant bien ce qu'elle voulait dire mais que des oreilles pourraient mal interprétées ne sachant pas le contexte de leur conversation.

Alors, je vous suis, Madame. dit-il en prenant son attaché-case et son paletot pour la suivre.

J'espère que je ne vous dérangerai pas trop longtemps. Vous devez avoir du travail?

Il trouvait qu'elle avait à peine le sourire alors, il se dit qu'il devait la déranger.

Alors que James Conlon répéta ce qu’elle venait de dire, elle réalisa qu’elle n’a peut-être pas été clair dans ses propos. Enfin, elle n’a pas dit ça dans le sens beaucoup moins professionnel. Elle le re garde un moment et lui dit :

Je parle de la réunion Monsieur...
Elle lui fait un petit sourit et débarre la porte de son bureau dont la fenêtre donne une très belle vue sur la ville. C’est tout un honneur d’avoir un bureau comme celui qu’elle a en ce moment. Il est grand est spacieux. Il a même un canapé et une petite table, que demander de plus?
Non non, j’ai seulement eu une mauvaise nuit, mais ne vous en faites pas, j’ai tout mon jugement pour notre rencontre!
Une fois le procureur entré, elle referme la porte de son bureau.
Assoyez-vous, je vous sers un café?

Invité

Port altier, sourire charmeur, James pose son attaché-case près d'une chaise, se retourne et répond à son offre de caré:

Si cela ne vous dérange pas, j'accepte.

James n'était pas genre à aimer le café mais il ne voulait pas lui déplaire en répondant qu'il en avait déjà pris un ce matin. Il la regarda se promener dans la pièce et la trouva très attirante.

Mais je ne suis pas ici pour...... pensa-t-il. Mais je ne dirais pas non! continue-t-elle à penser, petit sourire en coin.

Dos à James Conlon, Bianca verse du café dans deux verres alors qu’il accepte d’en prendre un. Ne pas en vouloir, il aurait bien dit non merci! Les tasses dans les mains, elle se rend à la table et les dépose avec un sourire. Tranquillement, elle va chercher le sucre et les petits contenants de crème.

Revenant à la table, elle s’assied et prend sa tasse dans laquelle elle met du sucre et de la crème pour finalement brasser le tout tranquillement. Elle croise les jambes et regarde James avec un sourire. Un bon café peut seulement réveiller les gens et Bianca en a bien de besoin en ce moment même.

Réalisant qu’elle a oublié son dossier, elle se lève, se dirige à son bureau et sort la chemise en se prenant un crayon pour finalement aller s’asseoir à la table.

Désolée, j’avais oublié mes choses, maintenant je suis prête à commencer!
Elle se permet de prendre une gorgée de café pour sourire finalement à James.

Invité

Ne la quittant pas des yeux, il la regarde aller à son bureau prendre les papiers et revenir s'assoeir face à lui.

James qui n'est pourtant pas un coureur de jupons, la trouve bien jolie. Décidant de tarder un peu de parler de leur dossier, il lui demande:

Vous êtes au FBI depuis longtemps, Madame Laguarda?

Il ne voulait pas être indiscret mais il avait envie d'en savoir un peu plus sur elle.

Où est le rapport avec leur dossier? James tente-t-il d’avoir une rencontre avec Bianca. Le genre de rencontre qui se fait autour d’un verre et qui se termine toujours par la femme pompette qui part avec l’homme... le lendemain matin, elle se réveille dans un lit inconnu, avec un homme qui peut être inconnu... c’est réellement ça qu’il cherche?

Nous parlerons de ça autour d’un verre et non d'une tasse!
Répond-t-elle dans le but de le surprendre. Elle le fixe un moment et se demande bien comment il se sent dans ses pantalons en ce moment même. Elle, elle ne perd pas son sourire... peut-être qu’elle tente de le mettre mal à l’aise.

Invité

James hausse les sourcils de surprise en entendant la réponse de Mme Laguarda.
Il se demandait si elle ne serait pas intéresser par une rencontre en dehors du bureau.
De nos jours, certaines femmes laissent aller leur "désir". Elles n'attendent plus que les hommes décident. Elles décident de ce qu'ils leur plairaient ou non et même avec qui elles veulent......
Il décide d'oser, et demande:

Vous seriez consentante à ce qu'on aille prendre un verre ensemble après le travail?

Ne la quittant pas des yeux, il affiche son plus beau sourire tout en allongeant le bras pour sortir son dossier à son tout.

Un sourire aux lèvres, Bianca se rend bien compte que cet homme tient à prendre un verre avec elle. Quelles personnes oseraient parler comme Bianca et James se parlent ce moment? Peut-être que Monsieur le procureur s’attent à ce que Biance LaGarda craque pour son regard et son habillement des plus chics, mais est-ce vraiment le cas? Madame peut très bien décidé de le courtiser pour le mettre hors de son boulot... après tout, il est ici pour parler d’un dossier et non pour mettre son charme à découvert.

Peut-être, je ne sais pas...
Aussi bien jouer à l’indépendante pour le faire craquer. Ce n’est pas parce qu’il paraît bien et qu’il a un gros compte de banque qu’il doit avoir les femmes à ses pieds.

Invité

James n'est pas du genre à vouloir une femme à ses pieds. Il est pour le partage en toute chose,
autant sur le plan professionnel que personnel.
Il se rend bien compte que la belle agent est sur ses garde et, il ne lui en veut pas. Mais il n'est pas là pour jouer au playboy, alors autant revenir à notre dossier.

Sourire un peu plus réservé, il lui dit:

On peut continuer le sujet après avoir parlé de notre dossier, si vous en avez envie. Je ne veux vous obliger à rien.

Sortant son dossier, l'ouvrit, il prend quelques papiers qu'il a en double et lui remet une copie:

Voilà, j'ai trouvé ces informations au sujet de ce ressortissant. Il n'est pas à son premier délit dans ce pays.

Il lui laisse le temps de lire son document.

Au moins cet homme partage ses informations, ce n’est pas comme certains procureurs, certains policiers qui gardent tout pour eux. Comment voulez-vous régler un dossier quand les personnes avec qui vous collaborez ne collaborent pas?

Elle prend le papier qu’il lui remet avec un sourire aux lèvres. Il est bien gentil et il doit bien le savoir, mais elle va lui dire juste pour être certain qu’il le sache.

Merci, ils sont rares les gens avec qui je collabore qui me font part de leurs informations. Disons que la collaboration ne doit pas réellement exister dans leur vocabulaire.
Ayant les feuilles dans les mains, elle la regarde rapidement et James lui dit que cet homme n’en est pas à son premier délit dans le pays.
Je l'aurais bien imaginé, avec le dossier qu’il a! Attendez, je vais le chercher!
Elle lui fait un sourire, se lève et se rend à son bureau. Se penchant, elle prend une boîte sur le sol et revient près de James Conlon.
Voilà son dossier criminel qui remonte jusqu’à 1987 si j’ai bien vu.

Invité

Feuilletant doucement le dossier, il répond:

Humm, je crois bien qu'on est arrivé au même résultat. Mais.......
il cherche à travail le document, et constante:
Je ne vois pas le rapport de son arrestation dans cet avion qu'il avait pris pour Cuba. Lorsqu'il a débarqué, les autorités cubaines n'ont pas voulu et ils l'ont retournés vers Haïti, Et je chercher à comprendre pourquoi Haïti. Je crois bien qu'il y a une raison. Je pensais que vous auriez quelques informations sur cet évènement.
Il lève les yeux pour la regarder.

Haïti, Haïti....
Elle fouille dans sa pile de feuille, car elle pense avoir quelque chose sur le sujet. Effectivement, après deux minutes de recherches, elle retrouve la feuille en question et la lit rapidement.
Les autorités d’Haïti le recherchaient pour avoir ouvert le feu dans une école en 1989... mais il a réussit à déjouer la sécurité et rapidement, il s’est ramassé ici. Il serait arrivé ici par bateau... Nous le recherchions ici, à Haïti et à Cuba... Comment a-t-il pu passer toutes ses années à vivre sans parvenir à se faire prendre? C’est la question que je me pose en ce moment. Peut-être qu’il a des contacts dans la police.
C’est un cas très spécial cet homme. Parviendont-ils à voir la lumière au bout du tunnel avec ce cas? Il se cache bien des choses sur ce dossier même si l’homme est derrière les barreaux pour l’instant, il manque bien des morceaux au puzzle.

Invité

J'avais entendu dire qu'il était facile de passer vos frontières, dois-je penser que cela est vrai avec cet évènement?

James était plus ou moins sérieux dans son propos.

Croyez-vous que nous pourrions le rencontrer en prison ? J'aimerais bien lui poser quelques questions?

Il est sérieusement en train de dire que Bianca et ses collègues font mal leur travail? C’est ça qu’elle comprend en tout cas alors qu’il dit qu’il est facile de traverser les frontiers. Il a beau être canon, mais il n’est pas du tout franc avec elle. Ce genre de remarque fait perdre énormément de points à un homme, le sait-il?

Probablement, faut demander à son avocat comme toujours!

Invité

James voit bien changer le regard de Madame Laguarda, mais ne sait pas pourquoi. Il essaie de repenser à ce qu'il a dit ou fait, mais, à part, avoir parler des frontières, il ne croit pas avoir pu offustué celle avec qui elle aimerait bien prendre un verre. Mais bon, elle posera bien des questions sur ce qu'il avait pu lui dire de déplaisant sans le vouloir.

Vous pourrez m'accompagner? J'aimerais bien! dit-il tentant de garder un ton professionnel.

Vous pouvez rejoindre son avocat et nous organiser un rendez-vous ?

Oui, je peux faire ça immédiatement!
Elle se lève et va à son bureau où elle prend place pour finalement trouver le numéro de l’avocat de l’homme et lui téléphoner pour avoir la permission d’aller le visiter. En deux temps trois mouvements, elle réussit à avoir l’autorisation d’y aller. Sourire aux lèvres, elle raccroche et regarde James.
Allons-y!

Invité

À son acquiescement de le suivre, James se lève, prend ses documents qu'il replace dans sa serviette, et se dirige vers la sortie.
Il ouvre la porte à Mme LaGuarda, la laisse passer et referme.

On peut prendre ma voiture, je vous raccompagnerai après notre rencontre. Cela vous va ?
Offre-t-il en suivant cette belle femme dont le parfum a atteint les narines de James.

Aphrodisiaque, ce parfum! pense-t-il en humant de nouveau de façon très discrète.

Bianca remercie l’homme alors qu’il lui ouvre la porte pour la laisser passer devant lui. Elle prend les devants alors qu’il lui dit qu’ils peuvent prendre sa voiture, car il va venir la reconduire après. Est-ce une bonne idée? Bianca ne connaît pas cet homme, il est peut-être un fou qui demande seulement à la retrouver dans son lit.

D’accord!

Lui dit-elle avec un sourire.

Invité

Sentant un peu la réticence de Mme Laguarda, James lui souffle à l'oreille, comme si il avait lu dans ses pensées:

N'ayez aucune crainte, je ne suis pas un désaxé, vous êtes en sécurité avec moi!

petit sourire moqueur aux lèvres. Et ajoutant sur un ton plus normal:

Je parie que vous savez vous défendre et je préfère, car des les prisons une femme comme vous, vous allez certainement entendre des remarques plutôt grotesques.

Bianca regarde l'homme qui ne se gêne pour lui souffler à l'oreille ce qu'il vient de dire. Pour qui se prend t-il? Certainement pour un homme qui pense qu'il peut avoir n'importe qui dans son lit. Biance est très bien capable de se retenir et ne pas craquer devant un homme. Ce n'est pas parce que nous faisons équipe avec un homme qu'il faut absolument coucher avec lui.

Ce n'est pas la première fois que je vais mettre les pieds dans une prison qui contient des tas d'hommes en manquent de sexe.

Invité

Je ne faisais aucune allusion à ce genre de propos!
réplique-t-il surpris qu'elle ait eu une telle pensée.

Monsieur Conlon est un gentleman, jamais il n'oserait parler de sexe avec une inconnue, une collaboratrice. Sa réputation de gentilhomme était faite.

Et d'ailleurs, il avait beau penser que cette femme était très désirable, il n'était pas ici pour chercher une femme, mais pour régler un dossier.
On a du déjà la faire baver pour qu'elle pense de cette façon!
Oui il l'a invité à prendre un verre mais il ne pense pas l'avoir invité dans son lit......
Mais il la trouvait bien de son goût quand même, donc il ne voulait surtout pas la décevoir.